Rendez-vous en 2018

La 9ème édition du TOUR DE BELLE-ILE s’est achevée le 30 avril dernier et l’heure est déjà à l’édition 2018 pour les organisateurs de la plus grande course à la voile en France en nombre de bateaux participants. Pour fêter ses dix ans et sa 10ème édition, le TOUR DE BELLE-ILE  se déroulera du 1er au 3 juin 2018 à La Trinité-sur-Mer.

Un bilan 2017 positif 
Cette année, les organisateurs du TOUR DE BELLE-ILE ont du composer avec la nature et après une analyse fine de la météo, ils ont proposé la solution d’avancer d’une journée plutôt que d’annuler purement et simplement, fait très rare dans les sports outdoor. « Avancer une épreuve de 24h à cinq jours du départ n’a pas été une décision facile à prendre mais nous aurions du annuler tout simplement l’épreuve en régatant le dimanche, car il y a eu des relevés de vent de 45 noeuds à Belle-Ile. Nous sommes très heureux car malgré tout, 440 bateaux ont pu prendre le départ. Les conditions météo ont été idéales le samedi et nous avons eu énormément de messages de remerciements et de félicitations, beaucoup de gens nous disent qu’ils ont passé un excellent week-end et apprécié cette solution alternative pour ne pas rater leur rendez-vous annuel de la voile. Le concept de rassembler amateurs et professionnels sur la même ligne de départ plaît toujours autant, beaucoup de gens reviennent d’une année sur l’autre et attendent ce rendez-vous avec impatience », explique Romain Pilliard, organisateur du TOUR DE BELLE-ILE.

Une enquête de satisfaction a été soumise aux coureurs à l’issue de l’évènement et les résultats sont là encore très positifs. A la question,  » quelle est votre satisfaction globale du TOUR DE BELLE-ILE « , 82% des concurrents ont mis une note entre 7 et 10 (sur une échelle de 1 à 10). « L’idée de cette enquête était de jauger la satisfaction de nos coureurs mais aussi de mettre en avant les points à améliorer. Nous travaillons dessus dès maintenant, et l’un de nos objectifs est de trouver parallèlement un Partenaire majeur pour continuer à développer l’épreuve », ajoute Aurélie Pilliard.